Ileana, la longue fille aux seins de cuir,
Me mord la peau avec une rage méchante
Dès qu’elle en sent l’odeur salée, me fait subir
L’âpre désir, soudain, furieux, qui la tourmente.
Ileana, qui ne connaît pas le remords,
Aime la vie malgré ses postures cruelles,
Et m’aimera à grand renfort de fouet, de mors,
Jusqu’à la mort qui, tous, un jour nous interpelle.