Ce salaud-là me fait reproche
De mes dessous affriolants
Mais il suffit que je m’approche
Pour le trouver plus conciliant
Il fait mine d’avoir à faire
Quand j’erre en slip dans son bureau
Mais mes collines lactifères
Le font bander comme un taureau
Le fourbe se désintéresse
De mes efforts d’aérobic
Mais dès que j’écarte les fesses
Il sursaute et lâche son bic
Dans sa lecture il persévère
Quand lentement j’ôte mon string
Mais face à mes replis vulvaires
Il voit un trou dans son planing
Il râle et me cherche querelle
Quand je surgis la figue au vent
Mais lorsqu’il a le nez sur elle
Il balbutie en salivant
Il fait celui qui n’y voit goutte
Quand je tâte mon berlingot
Mais que je plonge dans la soute
Et le voilà presque dingo
Il prétend que je le perturbe
Quand je caresse mes reliefs
Mais lorsque ma main le masturbe
Il n’a plus le moindre grief