Œillets rouges, fleurs dentelées, Vos fragrances m’ont ébranlée, Et j’avoue demeurer sans voix, Comme enivrée, lorsque je vois Vos éclaboussures tragiques S’épanouir aux joues des phtisiques, O rubis au bouquet troublant, Que j’aime depuis si longtemps....